Les fab labs en bibliothèques publiques : des missions entre continuité et innovation Version imprimable


Traditionnellement considérées comme des lieux de partage de connaissances théoriques avant tout, les bibliothèques proposent de plus en plus de dispositifs faisant appel à la participation active des publics ces dernières années, notamment via l’apparition de fab labs dans certaines d’entre elles. Il convient alors de s’interroger sur la façon dont ces espaces dédiés à la conception et à la réalisation d’objets font évoluer le rôle des bibliothèques, des bibliothécaires et des publics depuis leur mise en .


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Le phénomène des « tiers lieux » s’impose à l’Etat Version imprimable

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L’Etat annonce un plan de 110 millions d’euros pour renforcer et déployer ces espaces de travail où se mêlent fabrication et réseau d’échanges. Il suit les préconisations d’un rapport qui révèle un phénomène touchant l’ensemble des territoires mais encore fragile. La Machinerie Pour dynamiser les territoires, le gouvernement entend donner un « coup d’accélérateur » au développement des « tiers lieux ». Dans la foulée de la remise d’un rapport sur ces espaces de « coworking », « fab lab », « living lab » et autre « makerspace », le secrétaire d’Etat auprès du ministre de la cohésion.

Un article à lire sur Le Monde.

L’hypothèse des tiers lieux culturels Version imprimable

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De nombreux lieux culturels se transforment sous l’effet des mutations du numérique, de la baisse des finances publiques et du caractère stratégique des savoirs dans une économie de la connaissance.

Ces différents lieux culturels ont en commun de sortir d’une vision élitiste et diffusionniste de la culture et des savoirs, pour s’intéresser aux acteurs informels et aux espaces de la vie quotidienne. Ils se représentent moins dans des grands équipements solennels ou des lieux de retraite protecteurs, que dans des espaces dédiés à la vie sociale et ouverts à la Cité. Ils opèrent par ailleurs un rapprochement intéressant entre les cultures écrites, numériques et techniques des savoirs et une variété de connaissances, qu’elles soient académiques, tacites, pratiques, expertes ou profanes.x culturels se transforment sous l’effet des mutations du numérique, de la baisse des finances publiques et du caractère stratégique des savoirs dans une économie de la connaissance.

Lire cet article sur The conversation.

Le design thinking : une méthode pour créer la bibliothèque troisième lieu ? Version imprimable


Pour inventer des bibliothèques qui mettent l’humain au centre, il faut penser et travailler comme des designers. Cela ne veut pas dire que les bibliothécaires doivent se transformer en designers mais, étant donné qu’ils sont de plus en plus susceptibles d’être confrontés à des problèmes de design (c’est-à-dire des problèmes d’usages et « d’utilisabilité »), ils peuvent légitimement piocher dans la boite à outils des designers. C’est précisément en cela que consiste le design thinking : employer des méthodes de design lorsqu’on n’est pas designer de métier.

Lire cet article sur le Receuil Factice.

La bibliothèque-makerspace de Vaughan (Ontario, Canada) Version imprimable


A Vaughan au Canada, il n’est plus question d’une bibliothèque dotée d’un makerspace, mais d’une bibliothèque qui est un makerspace. Un projet qui porte la vision d’une bibliothèque-laboratoire ayant l’intention d’accueillir les capacités créatives des citoyens et la culture numérique. Il s'agit ici d'explorer de nouveaux scénarios et de redéfinir la qualité des interactions sociales dans ces tiers lieux au-delà des référentiels du café et de la conversation.

Lire cet article sur Bibliomancienne.

Lieux numériques, entre pratiques populaires et ré- appropriation des technologies ? Version imprimable


Plus « il y a de la technologie », plus nous avons besoin de lieux physiques favorisant une réelle appropriation sociale de ces technologies ? Est-ce suffisant ? Quels sont leurs retours d’expériences ? Comment nos explorations numériques viennent-elles interroger l’éducation populaire ? Comment partager ces questions avec les acteurs de l’intérêt général, de l’éducation, de la culture, des mouvements sociaux, … ? 

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Le design thinking dans le #ProjetBayeux Version imprimable



Le principal obstacle auquel se heurte le design thinking se situe en général au niveau organisationnel, avec des fonctionnements cloisonnés, des organigrammes en silos, où chacun se replie sur des enjeux métiers qui lui sont propres, plutôt que de s’impliquer dans des projets transversaux centrés sur les utilisateurs, leurs expériences et leurs besoins.

Pour éviter ce travers, La future médiathèque de Bayeux a opté pour un organigramme par pôles. L’idée est de cadrer étroitement les tâches routinières (comme les acquisitions, le circuit du document et le public) pour permettre à chaque pôle de concentrer son énergie sur des projets transversaux.

Lire cet article sur le Receuil Factice.

Le vocabulaire du design thinking Version imprimable


Nicola Beudon propose ici de clarifier les mots concepts de la pensée design, comme « idéation », « itération », « prototypage »… Il démontre qu il n’y a aucune entourloupe cachée derrière des mots obscurs au premier abord. C’est juste que des idées nouvelles nécessitent parfois des mots nouveaux ou inhabituels.

Un article à lire sur le Receuil Factice