Pour fleur pellerin, un domaine commun informationnel est “inutile, dangereux, et inopportun"
Mots-clés : domaine_public, biens_communs_de_la_connaissance
Les députés qui hésitent encore à voter l’amendement portant sur la définition positive du domaine public liront avec attention le courrier de la ministre de la Culture. En effet, Fleur Pellerin vient de mettre un nouveau coup dans l’idée d’un « domaine commun » de l'information et du savoir.
« La création envisagée d’un domaine commun informationnel est à la fois inutile, dangereuse, et inopportune », explique t-elle dans ce courrier adressé aux députés.
Lire cet article dans Actualitté
Articles portant sur des thèmes similaires :
- L’Open Data culturel est possible (et les bibliothèques le prouvent !) - 14/04/17
- Le choix du Metropolitan Museum et les pathologies du domaine public - 14/02/17
- Médiation numérique en bibliothèque et contenus libres : plaidoyer pour un passage à l’échelle - 28/05/15
- Transformer les bibliothèques en « Maisons des Communs » sur les territoires - 31/03/17
- Le partenariat Apple/BnF, “pas une bonne idée” selon les libraires français - 22/01/16
- Les bibliothécaires rappellent le droit d'accès à l'information pour tous - 17/06/15
- Europeana, la bibliothèque numérique européenne s’enrichit d’1 million de nouvelles images libres de droit - 28/05/14
- Domaine public : un calculateur pour identifier les oeuvres libres de partage - 19/02/14
- Des partenariats Public-Privé aux partenariats Public-Communs (A propos du Google Cultural Institute) - 13/12/13
- Les trouvailles de Georgette : Trésors du domaine public et des licences libres proposés par la bibliothèque Georges Brassens à Paris. - 14/04/17
Imprimer | Commenter | Articlé publié par Lionel Dujol le 22 Jan. 16 |